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Plantes de choix pour jardins écologiques
Ancienne variété épineuse, bien productive et résistante à l'oïdium. Petits fruits jaunes doux et parfumés.
Sol Bonne terre non calcaire |
Exposition Soleil ou mi ombre |
Besoin en eau Moyen |
Rusticité Très rustique ( -18°c) |
Floraison Avril |
Taille H 1 Ã 2 m x 0.5 Ã 1 m |
Feuillage caduc |
Port Erigé |
Date de cueillette juillet août |
Pollinisation autofertile |
Multiplié de Bouture |
Nom latin Ribes uva crispa 'Hinnonmaki Yellow'' |
Elevé en pot anti-chignon ? oui |
Famille Grossulariaceae |
(8,50 € Motte 0.9 L)
'Hinnonmacki Yellow' est une variété classique de groseillier à maquereau. Ses fruits petits, légèrement velus sont résistants à l'éclatement avec un goût doux et parfumé. Bonne résistance à l'éclatement et bonne vigueur. Il est épineux.
Les fruits du groseillier à maquereau sont une merveille : doux, fruités, rafraîchissants, ou bien croquants et acidulés lorsque l'on ne peut se retenir de les manger un peu trop tôt.
Cela vaut vraiment le coup d’en cultiver au moins un, car non seulement on ne trouve pas ses fruits sur les étals des marchés, mais aussi parce qu’en respectant ses besoins, c’est un arbuste facile et productif.
Il aime :
Il n’aime pas :
Le groseillier à maquereau a un système racinaire assez superficiel. Je conseille donc de le planter dans un sol bien préparé, sans adventices, et bien sûr de le pailler. Pourquoi pas en bordure de potager ?
Côté taille, il suffit de couper à ras les vieilles branches moins productives au centre de la touffe. D’autres prendront le relais.
BIODIVERSITÉ :
Le groseillier à maquereau (Ribes uva-crispa) est une plante modérément attractive pour les pollinisateurs, principalement les abeilles, grâce à sa floraison printanière. Ses petites fleurs discrètes ne sont pas aussi visibles ou attractives que celles d'autres espèces de la même famille, mais elles produisent une quantité notable de nectar, accessible aux pollinisateurs, tandis que le pollen est produit en quantité importante, ce qui constitue une ressource intéressante pour les abeilles, notamment les abeilles mellifères et solitaires, ainsi que pour les bourdons. Les syrphes visitent aussi occasionnellement les fleurs.
En ce qui concerne la faune sauvage, les baies du groseillier à maquereau sont consommées par certains oiseaux, tels que les grives et les merles, et les petits mammifères, comme les mulots ou les écureuils, se nourrissent des fruits tombés au sol.